Le texte aborde la notion de pauvreté sous différentes perspectives, remettant en question l'idée selon laquelle l'ignorance de sa propre pauvreté pourrait être préférable à la conscience de celle-ci. Il critique également l'idée que la pauvreté devrait être mesurée par les mêmes critères pour tous, soulignant que les besoins fondamentaux varient selon les environnements culturels.
Il met en lumière le lien entre possession matérielle et attachement, soulignant que l'accumulation de richesses peut restreindre la liberté individuelle en créant des préoccupations constantes quant à leur préservation. L'homme de Rousseau, dépourvu de biens matériels, est présenté comme ayant une liberté primordiale.
Le texte souligne l'importance du développement humain par rapport à la richesse matérielle, mais critique la manière dont les statistiques économiques ignorent souvent l'aspect humain des problèmes de développement dans les pays sous-développés. Il appelle à une approche plus centrée sur l'homme dans le processus de développement.
En fin de compte, il insiste sur la nécessité de placer l'individu au cœur des politiques de développement, soulignant que la conscience et la compréhension des besoins de chaque individu sont essentielles pour atteindre un véritable progrès humain dans les sociétés en développement.