Correction exercice I le brassage génétique assure par la reproduction sexuée et unicité génétique des individus
Correction exercice I
l. C’est un caractère transmissible des parents à leurs descendants.
Exemple : la couleur pelage chez les sortais.
2. Le poids d'un animal.
3 - Parlant de variété, on s’adresse surtout aux végétaux, de race on s’adresse aux animaux. Ce sont les subdivisions de l’espèce.
4 - Ensemble d’individus issus des mêmes parents.
5 - Si l'ensemble des individus de la lignée est homozygote pour le caractère étudié après plusieurs croisements successifs.
6. F signifie Fratrie ou Filiale. F1, F2, F3 = 1ère, 2è, 3è génération filiale.
7. Diploïde : Individu dont les cellules renferment des chromosomes disposés par paires semblables. Les chromosomes sont en deux jeux identiques ou 2n chromosomes.
Haploïde : Individu dont les cellules renferment un seul jeu de chromosomes, ceux-ci étant distincts les uns des autres.
Codon : Ensemble de 3 nucléotides successifs sur une chaîne d’ADN ou sur une molécule d'ARNm et qui code un acide aminé. .
8. C’est un individu dont le caractère exprimé par un gène a des allèles identiques sur les chromosomes homologues.
Exemple : GG ou bb.
9. C’est un individu dont le caractère exprimé par un gène a des allèles différents sur les chromosomes homologues. Exemple : Gb ou RB.
10 - a) Forme des graines b) lisse et ridé.
11- Par isolement, le caractère à étudier est choisi, On croise plusieurs ayant ce caractère. Après l'isolement des descendants ne présentant pas ce caractère choisi, on croise les autres entre eux et ainsi de suite jusqu'au moment où l'on n'obtient que des descendants ayant tous le caractère choisi.
12 - Croisement entre individus de la même espèce mais de race ou de variété différente. L'individu obtenu est un hybride ou métis.
13 - Si on parle de F1, cela signifie que les parents sont de race pure, mais ayant le même caractère exprimé différemment, chacun produit un seul type de gamète (pureté de gamète : G ou b). Les 2 allèles différents se retrouvent ensemble chez tous les descendants et s'exprimant sous une seule forme (Dominance ou codominance).
14 - a) C'est le regroupement des 2 allèles du même gène des 2 chromosomes homologues et qui commande un même caractère. Exemple: GG, Gb ou bb.
b) C'est l'expression du gène au niveau de l'organisme. Exemple : pelage gris.
15 a) Caractère dominant est un caractère observé en F1 identique à celui de l'un des parents.
b) Caractère récessif est un caractère ayant disparu en F1 et qui est celui de l'un des parents.
16 - Si en F1, les hybrides bien qu’uniformes, ne présentent pas le même caractère de l'un des 2 parents. Par abus de langage, ce nouveau phénotype est dit intermédiaire (entre ceux des 2 parents).
17. Gène létal est un gène dont les allèles à l'état homozygote entraîne la mort de cet individu, Les vivants sont toujours à l'état hétérozygote.
18 Vrai, s'il était hétérozygote, c'est l’allèle dominant qui devrait s'exprimer.
19. Le caractère autosomale est un caractère héréditaire commandé par un gène (ou des gènes) situé sur les chromosomes autre que X et Y, c’est-à-dire sur les autosomes.
20 Le caractère lié au sexe est un caractère héréditaire commandé par un gène (ou des gènes) situé sur les chromosomes sexuels X et Y.
21 - Un échiquier de croisement permet d’obtenir le génotype, puis les phénotypes des descendants que l'on peut avoir à partir d'un croisement entre 2 individus de la même espèce pour un ou plusieurs caractères considérés.
22 - Uniformité des individus de F1.
23 S’il est issu d’un croisement entre individu de lignée pure de phénotype (s) différent(s) pour un ou plusieurs caractères. Ils sont toujours tous identiques pour le caractère considéré.
24 - Vrai, puisqu’il possède seulement 2 chromosomes homologues. Les 2 portions identiques occupant le même locus* ne peuvent représenter plus de 2 allèles. Pourtant ces mêmes chromosomes, chez d’autres individus peuvent avoir d’autres allèles différents (parfois suite à des mutations).
Exemple : Le groupe sanguin avec ses allèles A, B et O.
25 a) Hybride pour le 1er caractère et pur pour les 2 autres.
b) Pur pour chacun des 3 caractères
c) Hybride (ou hétérozygote) pour les 3 caractères.
d) Pur pour les 3 caractères.
e) Hybride pour le 1er caractère et pur pour les 2 autres.
f) Pur pour le 1er et le 3e caractère, hybride pour le 2ieme.
Correction exercice II le brassage génétique assure par la reproduction sexuée et unicité génétique des individus
Correction exercice II
a) Pour s'assurer de la pureté de ces deux races, on doit croiser les souris grises entre elles plusieurs fois, si on obtient toujours les souris grises, alors, elles sont de races pures. On fera de même pour les souris blanches.
b) On peut conclure que le caractère gris est dominant et le caractère blanc est récessif.
c) La première loi de Mendel : Loi d'uniformité des hybrides de première génération.
Énoncé : La première génération (hybride F1) est uniforme tant pour le phénotype que le génotype.
d) Les souris grises ainsi obtenues sont des hybrides.
e) Phénotype des parents :
Échiquier de croisement.
50% G | 50% b | |
50% G | 25 % \(\frac{G}{{\overline G }}\) | 25 % \(\frac{G}{{\overline b }}\) |
50% b | 25 % \(\frac{G}{{\overline b }}\) | 25 % \(\frac{b}{{\overline b }}\) |
Résultats :
♦ \(\frac{3}{4}\) ou 75% de [G],
♦ \(\frac{1}{4}\) ou 25% de [b].
f) Non ; Le caractère blanc est récessif et ne peut se manifester qu'à l'état homozygote.
Correction exercice III le brassage génétique assure par la reproduction sexuée et unicité génétique des individus
Correction exercice III
1) On étudié la couleur du plumage chez la volaille.
2) Il s'agit d'un cas de mono hybridisme sans dominance (inter dominance ou codominance).
3) a. Génotypes volaille noire : \(\frac{N}{{\overline N }}\)
b. Génotypes volaille blanche : \(\frac{B}{{\overline B }}\).
4) Génotypes volailles bleues : \(\frac{N}{{\overline B }}\)
5) a) Les volailles noires et blanches sont de race pure.
b) Les volailles bleues sont hybrides.
6) Échiquier de croisement
50% N | 50% B | |
50% N | 25 % \(\frac{N}{{\overline N }}\) | 25 % \(\frac{N}{{\overline B }}\) |
50% B | 25 % \(\frac{N}{{\overline B }}\) | 25 % \(\frac{B}{{\overline B }}\) |
Résultats :
• \(\frac{1}{2}\) ou 50% de [bleues]
• \(\frac{1}{4}\) ou 25% de [N]
• \(\frac{1}{4}\) ou 25% de [B]
7) Non ; les caractères noirs et blancs sont pures.
Correction exercice IV le brassage génétique assure par la reproduction sexuée et unicité génétique des individus
Correction exercice IV
a) On peut dire que la dominance est intermédiaire.
b) Oui ; Parce que les parents de race ont donné une génération F1 hétérogène.
c) Première loi de Mendel : uniformité des hybrides de la première génération (F1).
d) Notons : B l’allèle bar
R l’allèle rouge.Échiquier de croisement.
50% \({X_B}\) | 50% \(Y\) |
|
50% | 25 % \({X_B}{X_B}\) [B] |
25 % \({X_B}Y\) [B] |
50% | 25 % \({X_B}{X_R}\) Réniformes |
25 % \({X_R}Y\) [R] |
Résultats :
• 25% de mâles [R]
• 25% de femelles [B]
• 25% de mâles [B]
• 25% de femelles [réniformes]
e) Non : Parce que le chromosome Y ne porte pas de gène.
Correction exercice V le brassage génétique assure par la reproduction sexuée et unicité génétique des individus
Correction exercice V
1 - Les variétés croisées sont pures et la génération F1 est uniforme: l'examen des hybrides F1 nous permet de conclure que l’allèle « graines lisses » (L) est dominant sur l’allèle « graines rides » (r) et l’allèle jaune (J) est dominant sur l’allèle vert (v).
2.
Les gamètes peuvent se retrouver par le tableau suivant :
\(50\% \underline J \) | \(50\% \underline v \) | |
\(50\% \underline L \) | \(25\% \underline L \underline J \) | \(25\% \underline L \underline v \) |
\(50\% \underline r \) | \(25\% \underline J \underline r \) | \(25\% \underline r \underline v \) |
Dans un cas de dihybridisme à ségrégation indépendante, les hybrides fournissent quatre types de gamètes sont équiprobables (soit 25% ou \(\frac{1}{4}\) de chaque type)
Échiquier de croisement
\(\underline L \underline J \) | \(\underline L \underline v \) | \(\underline r \underline J \) | \(\underline r \underline v \) | |
\(\underline L \underline J \) | \(\frac{L}{{\overline L }}\frac{J}{{\overline J }}[LJ]\) | \(\frac{L}{{\overline L }}\frac{J}{{\overline v }}[LJ]\) | \(\frac{L}{{\overline r }}\frac{J}{{\overline J }}[LJ]\) | \(\frac{L}{{\overline r }}\frac{J}{{\overline v }}[LJ]\) |
\(\underline L \underline v \) | \(\frac{L}{{\overline L }}\frac{J}{{\overline v }}[LJ]\) | \(\frac{L}{{\overline L }}\frac{v}{{\overline v }}[Lv]\) | \(\frac{L}{{\overline r }}\frac{J}{{\overline v }}[LJ]\) | \(\frac{L}{{\overline r }}\frac{v}{{\overline v }}[Lv]\) |
\(\underline r \underline J \) | \(\frac{L}{{\overline r }}\frac{J}{{\overline J }}[LJ]\) | \(\frac{L}{{\overline r }}\frac{J}{{\overline v }}[LJ]\) | \(\frac{r}{{\overline r }}\frac{J}{{\overline J }}[rJ]\) | \(\frac{r}{{\overline r }}\frac{J}{{\overline v }}[rJ]\) |
\(\underline r \underline v \) | \(\frac{L}{{\overline r }}\frac{J}{{\overline v }}[LJ]\) | \(\frac{L}{{\overline r }}\frac{v}{{\overline v }}[Lv]\) | \(\frac{r}{{\overline r }}\frac{J}{{\overline v }}[rJ]\) | \(\frac{r}{{\overline r }}\frac{v}{{\overline v }}[rv]\) |
Résultats l
• \(\frac{9}{{16}}\) de [L, J],
• \(\frac{3}{{16}}\) de [r, .J]
• \(\frac{3}{{16}}\) de [L, v],
• \(\frac{1}{{16}}\) de [r, v].
3 Total des individus :
7 304 + 2 431+ 2 422 + 809 = 12 966.
• 7 304M 2 966 = 0,563 = \(\frac{9}{16}\) de {L, J],
• 2422/12 966 = 0,186 = \(\frac{3}{16}\) de [r, J},
• 2 431112 966 = 0,187 = \(\frac{3}{16}\) de [L, v].
• 809/12 966 = 0,082 = \(\frac{1}{16}\) de [r, v].
Correction exercice VI le brassage génétique assure par la reproduction sexuée et unicité génétique des individus
Correction exercice VI
1. Dans le premier croisement, tous les individus de la F1 sont à corps gris et aux ailes longues. Nous déduisons que les allèles gris (G) et long (L) sont dominants ; tandis que les allèles noir (n) et vestigiale (v) sont récessifs.
Ce résultat ne ressemble ni à celui d'une disjonction indépendante des différents couples d’allèles, ni à celui d'une liaison absolue entre les gènes. L'apparition des phénotypes [G, V] et [n. L] ne peut s'expliquer que par le phénomène de crossing-over ou enjambement qui s'est produit chez la femelle hybride lors de l'ovogenèse. Le crossing-over ou enjambement se définit comme un échange de fragments de chromatides entre deux chromosomes homologues. Il ne se produit pas chez les mâles de drosophile
Deuxième croisement.
Échiquier de croisement.
♀ | \[100\% \underline n \underline v \] | |
♂ | \(\frac{G}{{\overline n }}\frac{L}{{\overline v }}\) | |
\[41,5\% \underline G \underline L \] | ||
\[41,5\% \underline n \underline v \] | \(\frac{n}{{\overline n }}\frac{v}{{\overline v }}\) | |
\[8,5\% \underline G \underline v \] | \(\frac{G}{{\overline v }}\frac{v}{{\overline v }}\) | |
\[8,5\% \underline n \underline L \] | \(\frac{n}{{\overline n }}\frac{L}{{\overline v }}\) |
2. Le pourcentage des phénotypes nouveaux (taux de recombinaison) dans la descendance permet de calculer la distance «d » entre les deux loci des gènes sur le chromosome d’individus aux phénotypes nouveaux.
Pourcentage des phénotypes nouveaux = 8,5 + 8,5 = 17%.
d = 17centimorgans. .
Correction exercice VII le brassage génétique assure par la reproduction sexuée et unicité génétique des individus
Correction exercice VII
1er cas : Les deux caractères étudiés sont la et couleur du corps» et 1a «longueur des antennes». Ils sont gouvernés par deux couples d’allèles ébène et gris pour la couleur du corps puis et longue et courte pour ta longueur des antennes.
Le phénotype de la F1 correspond à l'expression des allèles dominants pour les deux gènes: gris (G) domine ébène (e) et longues (L) domine courtes (c).
Le deuxième croisement est un back-cross ou test-cross; car permet de localiser les deux gènes sur les chromosomes (gènes indépendants ou gènes liés.) Le test-cross donne quatre phénotypes en proportions équiprobables. Les doux gènes sont donc indépendants, d'où les génotypes suivants :
2 Dans un test-cross les gamètes de l'hybride sont identiques en quantité et en qualité aux phénotypes de la descendance de ce test-cross.
La femelle, émet donc quatre types de gamètes ;GL, ec, eL, et Gc en proportions égales puisque les phénotypes de la F2 sont \(\frac{1}{4}\) de [G L], \(\frac{1}{4}\) de [e c]. \(\frac{1}{4}\) de [e L], et \(\frac{1}{4}\)de [G c].
2ème cas,
1. On considère ici deux gènes, le gène « couleur de yeux » avec ses deux allèles rouges et marron et le gène « forme des ailes » avec ses deux allèles entières et échancrées
Puisque les parents sont de race pure, le phénotype de F1 correspond à l'expression des allèles dominants." L'allèle rouge (R) domine marron (m) et l’allèle entière (E) domine echancrée (ec)
Le deuxième croisement effectué est un back-cross (ou test-cross.). La femelle émet donc quatre type de gamètes : 40% de RE. 40% 0e m ec, 10% de R ec. 10% de m ec. Les deux gènes considérés sont donc liés.
Les deux gènes étant portés par le même-chromosome, un phénomène de crossing-over a eu lieu dans 2x10 = 20% des ovogenèses, ce qui explique les quatre types de phénotypes de la F2 et leur pourcentage.
La somme des phénotypes nouveaux correspond au taux de recombinaison et détermine la distance qui sépare les deux gènes liés. D'où la représentation suivante.
2. Puisque les gènes sont liés, le mâle F1 de génotype \(\frac{R}{{\overline m }}\frac{E}{{\overline {ec} }}\) chez lequel il n'y a jamais de crossing-over ne donnera que deux types de gamètes.
50% de R E,
50% de m ec.
La femelle F1 de génotype \(\frac{R}{{\overline M }}\frac{E}{{\overline {ec} }}\) donnera quatre types de gamètes :
40% de RE ;
10% de M E ;
40% de m éc ;
10% de R éc.
L'échiquier de croisement suivant permet de prévoir la descendance dans ce couple.
♀ | \(40\% \underline R \underline E \) | \(40\% \underline M \underline {ec} \) | \(10\% \underline R \underline {ec} \) | \(10\% \underline M \underline E \) | |
♂ | \(\frac{R}{{\overline R }}\frac{E}{{\overline E }}\) \([RE]20\% \) | \(\frac{R}{{\overline m }}\frac{E}{{\overline {ec} }}\) \([RE]20\% \) | \(\frac{R}{{\overline R }}\frac{E}{{\overline {ec} }}\) \([RE]5\% \) | \(\frac{R}{{\overline m }}\frac{E}{{\overline E }}\) \([RE]5\% \) | |
\(50\% \underline R \underline E \) | |||||
\(50\% \underline M \underline {ec} \) | \(\frac{m}{{\overline R }}\frac{{ec}}{{\overline E }}\) \([RE]20\% \) | \(\frac{m}{{\overline m }}\frac{{ec}}{{\overline {ec} }}\) \([mec]5\% \) | \(\frac{m}{{\overline R }}\frac{{ec}}{{\overline {ec} }} \) \([{\mathop{\rm Re}\nolimits} c]5\% \) | \(\frac{m}{{\overline m }}\frac{{ec}}{{\overline E }}\) \([mE]5\% \) |
Soit une descendance composée de 70% de [R E], 20% de [m ec], 5% de [R ec] et 5% de [m E].
Correction exercice VIII le brassage génétique assure par la reproduction sexuée et unicité génétique des individus
Correction exercice VII
A.1 - Les hommes héritent le chromosome X de leur mère, puisque leur chromosome Y doit venir de leur père.
2 Non. Parce que l’allèle de la maladie est récessif et l’allèle normal est dominant ;
3 - Oui. Parce que son chromosome Y ne porte pas d’allèle pour ce gène.
4 - Comme elle est seulement porteuse, elle doit produire deux types de gamètes dont l'un porte l’allèle de la maladie et l'autre l’allèle normal.
5 a) Non aucun de leurs enfants ne pourrait avoir le désordre génétique.
b) Oui, leurs enfants de sexe féminin seront tous porteurs de ce désordre.
B
Nombre de combinaison : \(y = {2^n}\)
-pour n=2, \(y = {2^2}\) soit y=4
-pour n=3, \(y = {2^3}\) soit y=8.
C - Les asques 1 et 2 correspondent aux asques pré réduits. Aucun crossing-over n’a eu lieu entre le gène a et son centromère. Les autres asques correspondent aux asques post-réduits.
En appliquant la formule : d = 1/2x(nombres des asques post-reduits /nombres total des asques) x100
Nous obtenons \(d = \frac{1}{2} \times \) \(\frac{{\left( {5 + 4 + 9 + 10} \right)}}{{100}}\) \( \times 100 = 14\) unités de recombinaison.
Correction exercice IX le brassage génétique assure par la reproduction sexuée et unicité génétique des individus
Correction exercice IX
1. II s’agit du crossing-over.
2. La méiose.
3. Calcul du nombre de gamètes possibles.
• Pour un homme : \({\left( {{2^5}} \right)^2} = {2^{10}}\) gamètes,
• Pour une femme : \({\left( {{2^5}} \right)^2} = {2^{10}}\) gamètes,
4. Nombre d‘œufs possibles :
\(N = {\left( {{2^{10}}} \right)^2}\) \( = {2^{20}}\) œufs.
5. Brassage intrachromosomique et interchromosomique.
Correction exercice X le brassage génétique assure par la reproduction sexuée et unicité génétique des individus
Correction exercice X
1. Oui, car si ces caractères sont situés sur la portion BC commun aux chromosomes X et Y où ils peuvent passer dans le chromosome X par crossing-over.
2 - Oui, car les caractères situés sur la portion CD sont le patrimoine des gènes liés au sexe mâle.
3. Oui, car l’homme possède les gènes de toutes les trois portions AB, BC, et CD, alors que la femme, qui ne possède pas le chromosome Y, n'a pas les gènes de Ia portion CD.
4. Les gènes de l’hémophile et du daltonisme sont localisés sur la portion AB du chromosome X et pour cela, les garçons ne peuvent les recevoir que de leur mère. Le gène de l’’hypertrichose des oreilles se trouvent sur Ia portion CD du chromosome Y. Les gènes de cette portion ne sont portes que par les hommes et par conséquent, les garçons ne peuvent les recevoir que de leur père.