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Baccalauréat
Philosophie
A
2023
Correction
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Première partie : L’évaluation des ressources (09pts)

COMPRÉHENSION DU TEXTE

Pour comprendre cet extrait de Essai sur la problématique philosophique dans l’Afrique actuelle et surtout bien le situer, il faut prendre en considération ce qui suit : l’obsession de Marcien Towa à définir une trajectoire devant inexorablement mener l’Afrique sur la voie d’une véritable émancipation, mieux, d’une affirmation véritable qui intègre la capacité à s'assumer (ce qui suppose une libération effective) et la possibilité de s'imposer dans un monde déséquilibré et hautement concurrentiel (ce qui suppose une révolution ontologique et culturelle fondamentale).
Aussi, nous propose-t-il une double attitude : d’une part, rompre avec un passé qui nous maintient captif de la faiblesse et de la domination et qui aurait d’ailleurs justifié notre échec face à l’Occident et, d’autre part, opérer une conversion profonde qui nous fait devenir l’autre ou mieux devenir comme l’autre par la domestication de la science et de la technologie. En cela, l’auteur nous invite à une révolution en vue d’une véritable renaissance de l’Afrique dans le monde actuel.
Une telle option induit une redéfinition de notre rapport au passé et avec nous-mêmes et c’est ici qu’il faut saisir la pertinence du présent texte.

Définition du problème philosophique (DP)
Problème philosophique (énonciations possibles) 1,5 pt

Thème : L’affirmation de l’Afrique ou de l’Africain / l’émergence de l’Afrique /Le développement ou la libération de l’Afrique.
Problème : Les conditions de possibilité ou les voies d’une véritable affirmation de l’Afrique. Éventuellement, on parlerait des voies de l’émergence de l’Afrique dans un monde trouble.
Thèse: Pour Towa, l’affirmation véritable de l’Afrique passe par une véritable révolution : « pour s'affirmer, pour s'assumer, le soi doit se nier, nier son essence et donc aussi son passé » Seule une négation de soi et de son passé peut permettre à l’Afrique/ aux Africains d’aspirer à une véritable affirmation.
Problématiques possibles :
L’option révolutionnaire telle qu’envisagée par Towa ne présente-belle pas le risque d’une acculturation et d’une aliénation foncièrement préjudiciables àl’affirmation et à la revalorisation pourtant voulues des Africains par |’auteur?
De fait, l’Africain peut-il véritablement se nier et nier son passé, comme l’y invite Towa, sans se perdre et s’oublier ?
Mais, la démarche de Towa, si elle était stratégiquement et géopolitiquement nécessaire, ne serait-elle pas culturellement et ontologiquement préjudiciable (suicidaire)? 2 pts

Explication analytique(EA) 2 pts
Pour fonder son postulat selon lequel c’est par une négation de soi et de son passé que les Africains peuvent aspirer à une véritable affirmation, Towa adopte une démarche binaire :
D’une part, Towa indique la nécessité pour l’Africain d’une rupture « avec son essence et son passé ». A cet effet, il nous invite à entrer dans un rapport négatif avec nous-mêmes et avec notre passé.
D’autre part, l’auteur indique la nécessaire médiation de l’autre comme gage de notre survie et de notre affirmation. A cet effet, il montre que « le soi doit viser expressément à devenir comme l'autre, semblable à l'autre, et par là incolonisable par l'autre ».
Transition : Mais, quoique pertinentes, les pistes ouvertes à l’Africain pour son affirmation par Towa ne présentent-elles pas des risques d’acculturation et d’aliénation, au-delà de l’attitude iconoclaste qui transparaît dans sa démarche.

Réfutation du texte (RT) (deux éléments au plus)
En dépit de sa force argumentative, le texte de Towa semble pourtant se prêter à diverses objections: 2 pts

Première critique : on peut déceler dans la démarche de Towa une attitude iconoclaste assortie d’une tentative pour arracher l’Africain à (de) son passé qui laisserait dubitative toute personne qui considère le retour aux sources comme une option salutaire dans un monde trouble et en plein désenchantement. Pour s’affirmer, est-il nécessairement besoin de se mettre à dos notre passé avec tout ce qu’i] pourrait comporter comme base pour se projeter dans le monde ? Or, nous conseille Basile Fonda, « il finit entrer dans la mondialisation en restant africain » ?

Deuxième critique: Loin d’être une option risquée/suicidaire, le recours/retour au passé constituerait une voie salutaire polir éviter de vivre en resquilleur dans l'histoire. Il faudrait, semble-t-il, retrouver cet arrière fond ontologique et culturel qui forme, pour emprunter l’expression de Descartes, ce «roc solide » à partir de quoi on se projette dans le monde. Cf. Hamadou Hampaté Bâ : « quand on ne sait pas où on va, i1 faut savoir d ’où on vient. »

Troisième critique: l’invitation à « devenir l’autre » ne serait-elle pas réductible à l’aliénation, à l’assimilation et au mimétisme. Toutes choses qui, sous le prisme de la médiocrité, condamneraient l’homme à ce que Njoh-Mouelle appelle un « suivisme moutonnier ».

Quatrième critique : on peut enfin déceler dans la démarche de Towa un déni culturel qui ne peut avoir pour contrepartie qu’une acculturation pour le moins inacceptable dans ce monde où l’exception et l’originalité constituent les repères pour un enracinement et une ouverture sans égarement. Auquel cas, il nous faut éviter de refaire le pari de La Grande Royale qui engagea Samba Diallo dans une «aventure ambiguë », ce dernier ayant malheureusement «choisi le chemin le plus susceptible de [se] perdre. »

Transition : Mais, peut-on, sous le prétexte de ces objections, évacuer les enseignements dont un tel texte pain-tait être porteur ?

Réinterprétation du texte (RIT) (deux éléments au plus) 2 pts
En dépit des objections ci-haut émises, il y a pourtant lieu d’en tirer quelques enseignements importants.
• D’abord, l’auteur dénonce l’emprise du passé sur la libre initiative des Africains et invite à entretenir avec lui un rapport réfléchi et non un conformisme asservissant.
• Ensuite, l’auteur s’emploie didactiquement à définir le type de rupture susceptible d’engager l’Afrique sur la voie de son accomplissement ; à savoir une rupture qui ouvre sur la nécessaire médiation de l’autre. L’autre devant ici être saisi au sens sartrien, comme « un médiateur indispensable entre moi et moi-même ».
• De plus, l’auteur dénonce toute logique de repli identitaire, d’enfermement sur soi qui gangrène les sociétés africaines avec aujourd’hui en prime le tribalisme, le nombrilisme, l’ostracisme qui trouvent leur terrain d’expression dans « les discours de haine » désormais dénoncés dans notre société. En fait, le « retour sur soi » ne devrait pas se confondre avec le « refus de l’autre ». Un clin d’œil à Aimé Césaire qui, dans sa Lettre à Maurice Thorez, rejette deux attitudes opposées : l’enfermement et la dilution.
• Par ailleurs, l’auteur a le mérite d’indiquer à tout esprit ou tout peuple désireux de s’accomplir, mais tenu par les rets d’un passé asphyxiant, le saut à opérer pour échapper à la dictature et à l’autoritarisme du passéisme.
Enfin, la pensée de Towa définit le profil d’Africain à même d’accomplir l’affirmation de l’Afrique : un homme qui sait tourner le dos à son passé et qui sait se révolutionner de fond en comble pour se projeter résolument dans l’avenir et s’accomplir sereinement via la maîtrise de ce qui comme la science et la technologie conféra aux autres tout leur prestige.
Ainsi, le texte de Towa dégage à la fois une actualité et un intérêt philosophique indéniables.

Conclusion (C)
Rappel du problème du texte: la réflexion de Towa, dans cet extrait de Essai..., mettait en évidence les conditions de possibilité ou les voies d’une véritable affirmation de l’Afrique.
Rappel de la thèse de fauteur: Pour Towa, seule une négation de soi et de leur passé peut permettre aux Africains d’aspirer à une véritable affirmation.
La révolution, en Afrique, doit viser à rendre les Africains moins dépendants de leur passé, plus créatifs et libres.
Rappel de la critique: certes, on a pu déceler, dans la démarche de Towa, des risques d’acculturation et d’aliénation, doublés de velléités iconoclastes.
Indication de l’intérêt philosophique : Néanmoins, il se dégage ici la volonté pour l’auteur de définir le saut nécessaire capable de permettre aux Africains de s’affirmer véritablement et de rivaliser sans complexe avec les autres peuples du monde.

Deuxième partie : L’évaluation de l’agir compétent

Sujet : Le travail peut-il permettre à l’homme d’affronter victorieusement l’adversité de la nature?

I. COMPRÉHENSION DU SUJET

Le sujet, libellé sous forme interrogative, invite le candidat à trois tâches essentielles :
• Montrer les effets dommageables du travail, les difficultés qu’il poserait à l’homme dans ses efforts de maîtrise de la nature ;
• Réagir en formulant des objections et réserves qui autorisent une lecture positive du travail, comme forme culturelle de conquête et de maîtrise de la nature par l’homme ;
• En déduire, comme esquisse de solution finale, d‘une certaine nécessité effective ou potentielle du travail, à l’invitation à une « culture du travail » dans la volonté et l’effort de l’homme pour humaniser la nature et en faire un séjour viable et vivable.

Ce qui nous conduit à saisir le sens des concepts et termes en présence dans le sujet :
Définition des concepts

• victorieusement Travail : Effort accompli par l’homme en vue d'atteindre une fin utile matérielle, financière, productive, etc.) ou immatérielle (reconnaissance sociale, développement des facultés, etc;) / Activité(s) de production des objets-réponses ou moyens d’existence.
• Affronter: Surmonter, dépasser, vaincre.
• Adversité : difficulté; opposition, obstacle.

Reformulation du sujet : le travail peut-il rendre l’homme libre?

Il. INTRODUCTION

II.1 Problème : Le sujet invite à réfléchir sur l’impact du travail sur la nature / la finalité du travail pour l’homme / le rapport entre le travail et la nature. 3 pts
II.2 Problématique : Ce problème peut être décliné en problématiques ainsi qu’il suit
:
• Peut-on réellement adhérer à cette vision négative qui fait du travail une activité inapte à accompagner la volonté humaine de maîtrise et de domination de la nature?
• Voir dans le travail une activité préjudiciable à l’homme, n’est-ce pas se méprendre sur sa réelle finalité dans l’effort que déploie l’homme au quotidien pour imprimer sa marque sur la nature ?
• Peut-on légitimement penser que le travail entrave la liberté humaine, sans ignorer l’impact réel de celui-ci sur celle-là?

III DÉVELOPPEMENT 

Thèse I (Présupposé): le travail ne peut pas permettre à l’homme d’affronter victorieusement l’adversité de la nature. 3 pts

Argument 1 : La nécessité du travail en fait une activité contraignante, qui fait obstacle à la volonté de l homme. On travaille malgré son et parfois contre soi. Selon Marcel David «Pendant le temps du travail [...] le plaisir est en « suspens » la douleur dentine ». Par ailleurs, Alain, dans Les Arts et les Dieux, nous fait savoir que « Le propre du travail, c’est d’être forcé. »

Argument 2: Le travail dégrade l’homme, il le détruit physiquement et psychologiquement et le déforme. Cf. l’homme, Simone Weil dans L’Enracinement: «Le travail fait violence à la nature humaine. » De plus, le travail salit et dégrade, comme l’atteste l’image des mineurs dans Germinal d’Emile Zola et dans Les Misérables de Victor Hugo.

Argument 3 : Le travail, est ce par quoi, la nature asservit et aliène l’homme et, comme tel, il nous ôte toute possibilité de repos et de loisir. Aussi, K. Marx a-t-il pu dire dans les Manuscrits de I 844 que « Dès qu’ il n’existe pas de contrainte physique ou autre, le travail est fui comme la peste ».

Argument 4: Le caractère punitif du travail reconnu dans la tradition judéo-chrétienne; il est imposé à l’homme comme salaire de sa désobéissance à Dieu. Le sociologue américain du travail George Friedmann reprenait cela, dans son texte Où va le travail humain ? en disant «tu mangeras ton pain dans la tristesse et dans l’ennui ».

Argument 5: Les formes inférieures de travail dénient la liberté : le travail mécanique impose la régularité, la répétition, la discipline, l’automatisme; il est absence d’initiative, exclusion de la conscience.

Argument 6 : La définition du travail elle-même est suffisamment évocatrice des effets
dommageables du travail sur l’homme. Ainsi, que l’on prenne le sens étymologique (tripaliare = torturer) ou le sens anglais (labour = activité nécessitant un grand effort). L'une et l’autre évoquent tant la souffrance endurée ou ressentie en même temps qu’elles expriment la difficulté, la pénibilité du travail. Ainsi, selon Jacques Ellul, « L’écœurement, la lassitude, le dégoût, c’est la grande tentation de ceux qui travaillent ».

Argument 7: L’a1iénation du travail dans les formes inhumaines de travail. Le travail est
arrachement à la liberté, annihilation de la volonté et sacrifice. Exemple : le travail à la chaîne ne permet ni le développement de la conscience, ni d'échapper à la domination des employeurs, ni la parfaite expression de son génie et de sa créativité. Ainsi, la mécanisation et l’automatisation du travail : l'homme est alors réduit à l'état de machine (machine-outil). Aussi, Man: a-t-il dénoncé dans le Capital les travaux qui contredisent le caractère humain du travailleur, à savoir des tâches « dégradantes ».

Transition : Mais, une vision tant dépréciative du travail ne tiendrait-elle pas à l’ignorance de ses apports réels ou potentiels à l’homme dans son effort pour affronter et dompter une nature souvent hostile ?

Thèse 2 : le travail joue un grand rôle dans la volonté de l’homme de surmonter l’adversité de la nature

Argument 1 : L'homme travaille d'abord pour vivre ou survivre. Il doit satisfaire des besoins vitaux, en particulier celui de se nourrir, se loger, se vêtir, etc. Pour cela, s'impose à lui la nécessité de produire, de transformer la nature dans un but utilitaire: trouver sa pitance, gagner son salaire.
Le travail a donc un caractère essentiellement vital : travailler pour « vivre ». Ici, nous dit Cicéron, « Le travail forme un cal contre la douleur ».

Argument 2 : Le travail comme processus de libération de la dictature de la nature. Non seulement il permet de produire les objets-réponses nécessaires à une vie agréable et à la sécurité sociale, mais en plus il assure l’emprise de l’homme sur la nature. Ainsi, que l’on pense à l’adage repris en boucle dans les chansons de chez nous « la vraie magie c’est le travail », ou que l’on reprenne cette pensée de La fontaine selon laquelle «le travail est un trésor», on comprendra bien tous les apports réels ou potentiels que donnerait un travail bien mené.

Argument3 : Le travail autonomise et libère l’homme de l’emprise et des contraintes imposées par la nature. Selon Sartre, dans Situations, « En fait, l’élément libérateur de l’opprimé, c’est le travail.
En ce sens, c'est le travail qui est d’abord révolutionnaire ». Par ailleurs, dit A. Kojève, « L’avenir et l’histoire appartiennent à l’esclave travailleur ».. Exemple : une colline à gravir, une montagne à terrasser, un marécage à remblayer. Sur ce plan, la Chine, confrontée à un relief des plus difficiles, a développé, grâce au travail, un savoir-faire extraordinaire dans la réalisation du vœu cartésien d’un homme devenu, par la force du travail, « comme maître et possesseur de la nature ».

Argument 4: Le travail constituerait cette voie, dit Kant dans Réflexions sur I ‘éducation, qui «transforme l’animalité en humanité. » Par et grâce au travail, l’homme opère une négation de la nature, du moins des résistances que celle-ci lui oppose. A cet effet, Georges Bataille, dans L’Érotisme considère que le travail, comme acte culturel, est «la voie de la conscience, par laquelle l’homme est sorti de l’animalité ». Le travail constitue donc pour lui un parfait allié dans cette optique. Cf. S. Freud dans L ’avenir d'une illusion .' « C’est en effet la tâche principale de la culture, le véritable fondement de son existence, que de nous défendre contre la nature ».

Transition: Si le travail s’avère donc incontournable dans notre vouloir de conquérir et de soumettre la nature, dans quelle mesure peut-on cesser de le redouter?

Synthèse: Le travail bien organisé et humanisé constitue pour l’homme une nécessité/une voie indispensable pour humaniser la nature

Argument 1 : Le travail comme processus de libération et d’humanisation. En transformant la nature par le travail, l’homme se transforme aussi par le travail. Aussi, faut-il y voir, selon les termes d’Emmanuel Meunier, « un effort humain pour humaniser l’humanité », car dit-il, « tout travail travaille à faire un homme en même temps qu’une chose. » En travaillant, je me travaille.

Argument 2 : Il ne permet pas seulement le développement des facultés mais aussi la créativité de l'homme, la découverte et l'affirmation de ce qu'il est. Le travail s’apparenterait alors à un acte de sacralisation et de spiritualisation par lequel l’homme s’identifie à Dieu. Le Chevalier, dans L’Aventure ambiguë de Ch. H. Kane, assimile le travail à la prière et dans les Manuscrits de 1844, Marx lui confère une puissance capable de ressusciter l’homme d’entre les morts.

Argument 3 : Le travail est une nécessité vitale sans laquelle la vie n’aurait aucun sens et l’homme incapable de répondre favorablement à ses besoins. L’homme ne peut véritablement se passer du travail dans sa volonté de soumettre la nature et de la contrôler. Cf. Njoh-Mouelle : « supprimez le travail et c’est la mort.» Il ne peut donc pas avoir de vie humainement vivable sans le travail.

Argument 4 : Il y a donc nécessité d’humaniser le travail en en faisant une activité
d’épanouissement. Il ne permet pas seulement le développement des facultés, mais aussi la créativité de l'homme, la découverte et l’affirmation de ce qu'il est de façon originale : le travail devient alors un moyen de se réaliser en réalisant son œuvre. Jacques Ellul pense que «le travail purifie, ennoblit : c’est une vertu et un remède ». .

IV. CONCLUSION

Rappel du problème : la réflexion mettait en exergue la finalité du travail pour l’homme/ l’impact du travail sur l’homme / le rapport entre le travail et la nature.
Rappel de la thèse du présupposé: a priori, le travail, au regard de ses exigences et de ses contraintes, ne peut permettre à l’homme d’affronter victorieusement l’adversité de la nature.

Rappel de la critique : Pourtant, au regard de ses nombreux apports, on aurait du mal à défendre une vision dépréciative et négative du travail.

Solution personnelle contextualisée : Le travail, parce qu’ il constitue pour l’homme un allié efficace pour vaincre l’adversité de la nature, devient indispensable à toute personne ou société qui aspire à tirer tous les bénéfices de la nature et à lui donner un visage humain.

PRÉSENTATION 2pts